Le sport est contre la libération des femmes
Olympe de Gouges-Equipe de France féminine
même combat !
Le sport sert-il l’émancipation des
femmes ?
A l’heure de la Coupe du monde de rugby
organisée en France, cette question
essentielle n’est posée ni par les médias, ni par les sportif(ve)s, ni par les
non-sportif(ve)s, ni par les militant(e)s progressistes, ni par les féministes.
Le sport allant de soi (on n’en discute
pas), le sport féminin et sa médiatisation seraient bons pour les femmes. Paradoxe : dans ce fief de la virilité,
tenir un autre discours vous classe immédiatement parmi les
« machos ».
Et si l’on remettait en cause le postulat de
base ? Peut-on enfin en débattre sérieusement…
Pour tout commentaire et renseignement s’adresser à :
Centre d'Analyse Critique du Sport (siège à Orléans)
Mail : lecacs@live.fr
De l’agression sexuelle à l’organisation
du dopage
Quand la « grande muette » couvre ses cadres…
Raphaël Piolanti, manager national des lancers à la Fédération française
d'athlétisme (FFA), vient d’être mis en
examen à Metz. Il est soupçonné d’avoir organisé et encouragé le dopage de deux ou trois athlètes dont Quentin Bigot, champion d'Europe
Juniors 2011 du marteau, contrôlé positif à un produit dopant fin juin lors des
Championnats d'Europe d'athlétisme par équipes à Brunswick (Allemagne)
Il y a plus de 20 ans, Raphaël Piolenti avait déjà fait parler de lui.
En août 1991, lors d'un stage à Mâcon, deux lanceuses de marteau de l'équipe de
France, Catherine Moyon de Baecque et Michèle Rouveyrol, avaient été agressées
sexuellement par trois lanceurs. Devant la cour d'appel de Dijon, en 1994,
Jean-François Grégoire, Laurent Bettolo, et… Raphaël Piolanti, avaient été
condamnés à des peines de prison avec sursis pour «agressions sexuelles autres
qu'un viol».
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